Même si celui-ci est utile, parle des routes des autoroutes et autre qui permettent de se transporter d'un endroit l'autre. Mais il serait intéressant d'ouvrir de nouvelles pistes non ? Oui, je veux dire qu'il nous faut, si ce n'est le réinventer, au moins réfléchir à de nouvelles pistes possibles qui nous mèneraient à une meilleure maitrise énergique de celui-là. Mais il y a toujours un envers à une médaille et oui. Donc à trop réduire et/ou minimisé l'éclairage public ne risquons-nous pas de retombée il ne faut comme à la naissance de celui-ci vers le 18ème avec les allumeurs de réverbères ? Donc je suis d'accord pour réduire la puissance de luminosité des éclairages des rues, etc., mais que nous puissions voir un minimum ou nous mettons les pieds (rire). Alors, réduire, agir de sorte qu'entre 1h et 5 du matin tous cela soit en veille, en stand-by OK. Mais aussi, voir que les monuments historiques locaux Bernayens soient eux aussi éclairés avec des minuteurs (ce qui et s'en doute déjà fait) et qu'à partir d'une certaine heure (24 heures par exemple) ceux-là soit aussi éteint. Car je ne sais pas le nombre de watts d'une ampoule d'un réverbère banal en comparaison avec une ampoule d'éclairage de monument historique, mais bon, à mon avis si elles sont de même facture elles ne doivent pas avoir le même taux de force lumineuse.
(1) Voir lien internet ci-dessous pour découvrir "L'ANPCEN". Photographie : "Emprunte de luminosité occasionnée par l'éclairage public à Bernay (vue par satellite)" d'après une carte établie par messieurs Michel Bonavitacola et Richard Dauvillier pour le site de "L'ANCPEN" 2009 ©®™. Voici un lien internet vers le site de "L'ANPCEN" : http://www.anpcen.fr/WD140AWP/WD140Awp.exe/CONNECT/ANPCEN_site14?_WWREFERER_=&_WWNATION_=5