Ces informations laisseraient à penser qeu le règne des petits arrangements des amis du Fouquet’s continue donc …
Une présidence d’entreprise offerte en échange d’un soutien politique ? Un coup de main de Proglio (l’ami du président) en contrepartie d’un investissement dans le dossier Photowatt ? Les allégations sur un tel marchandage seraient évidemment particulièrement graves si elles étaient confirmées car elles montreraient combien “Nicolas” le faux candidat du peuple, est télécommandé par Sarkozy, le vrai candidat du système ce qui aboutirait à une large confusion des intérêts privés avec la gestion de l’Etat.
Le quinquennat a commencé au Fouquet’s sur les Champs Élysées, il se termine avenue Kléber chez Veolia.
Cette hypothétique nomination de Jean-Louis Borloo, ancien ministre de Sarkozy, l’homme qui hésita puis renonça sans vraiment expliquer pourquoi, à la tête de Veolia Environnement, serait une double faute.
Faute politique car elle reflèterait une stratégie d’infiltration de toutes les sphères du pouvoir par un clan, un accaparement de tous les leviers de décisions. Faute économique et sociale car l’avenir d’un groupe positionné sur les services collectifs (transports, eau, énergie, déchets), déjà lourdement endetté, devrait se choisir un entrepreneur compétent pour relever ses défis plutôt qu’un politique en mal de replacement d’autant que d’autres anciens candidats (Morin, Boutin, Villepin bientôt …) chercheront aussi à anticiper une victoire de gauche … mais Véolia ne peut pas tout recycler …
Déterminé à mettre l’emploi, le développement économique et le mérite des dirigeants au cœur de son projet, Francois Hollande est porteur d’un nouveau modèle industriel français.
Le Changement ? C’est maintenant !