Le candidat socialiste n’est pas resté muet face aux allusions prononcées par Nicolas Sarkozy lors de son grand meeting phocéen
C’est a l’antenne de BFM TV qu’il fait état de sa découverte :
Il y a eu un Etat UMP qui s’est installé, c’est vrai que Nicolas Sarkozy – il en a lui-même pris la responsabilité puisqu’il a été ministre de l’Intérieur puis président de la République (…) – a mis un vrai système en place au niveau du ministère de l’Intérieur, avec un certain nombre d’excès dont les tribunaux sont aujourd’hui saisis (…) dans la justice aussi il y eu des nominations de procureurs qui ont été des amis du pouvoir. (A propos de l’accusation de « double discours ») Les Français peuvent juger mes propositions (…) Ce que je dis, je le présente aux Français, je ne maquille rien et en tout cas je ne serai pas le président, si les Français m’en donnent mandat, qui viendra au lendemain de son élection dire exactement le contraire de ce qu’il a promis pendant une campagne électorale (…) Ce n’est pas parce qu’il y en a un qui veut vous chercher dans la cour de récréation que vous êtes obligé d’aller le suivre dans ce pugilat. Je m’y refuse