Bon ce n’est pas agréable, mais enfin.
Pour cette catastrophe digne d’une film d’horreur en 3D, nos pandores coordonnés se sont bougés en cohortes: trois patrouilles de la police municipale (la troisième devant sans doute contrôler ce que faisaient les deux autres) et pour couronner le tout une autre patrouille de la gendarmerie cette fois, les bleus intelligents désormais maîtres du canton et renifleurs en chef.
Quand on sait qu’une patrouille est composée au minimum des minimums de deux pandores musclés, ça fait quand même au moins huit gugusses armés jusqu’aux dents et prêts à sauter sur l’ennemi pour une bricole dont on n’entendra plus parler dans 48 heures.
On ne compte évidemment pas au nombre des intervenants la vingtaine de pompiers qui sont arrivés sur place avec armes et bagages.
Huit flics pour deux heures d’intervention, sans les frais de déplacement, ça fait 16 heures.
Outre le coût de l’heure, c’est la redondance des forces sur place qui affole. Pendant ce temps, le brigand x ou y passe son chemin et regarde nos pandores ébahis.