Tahar Ben JELLOUN, écrivain :
Je soutiens François Hollande parce que c’est un homme sincère, intègre et qui a une vision d’avenir. Il est différent de tous les hommes politiques que je connais parce qu’il n’aura pas recours au mensonge et aux promesses irréalistes pour convaincre le peuple français. Il tient le langage de la vérité et ne cache pas aux Français que la tâche sera très dure. Il ne fera pas de miracle, mais il sera à l’écoute de ceux qui souffrent et qui ne voient pas de perspectives pour leurs enfants.
Josiane BALASKO, comédienne :
Je voterai pour François Hollande parce que je suis de gauche, parce que j’ai toujours voté socialiste, mais parce que je pense que c’est un honnête homme, ce qui n’est pas si courant. On critique sa modération? Et alors! Pour moi, c’est une qualité et non un défaut. On l’a bien vu lors des primaires, il avait une position de sage et n’a jamais attaqué ses rivaux !
Josiane Balasko.Paris le 14/01/2012
Thierry REY, judoka :
Pierre LESCURE, journaliste :
Aladji BA, sprinteur non voyant :
Olivier Krumbholz, entraineur de Handball :
Yousry Nasrallah, réalisateur :
Vikash Dhorasoo, footballeur :
Cécile Nowak, judokate :
Jean-Michel Ribes, auteur, directeur du héâtre du Rond-Point :
“À l’heure où l’on clame partout la nécessité de produire français, d’acheter français, d’exporter français, François Hollande passe à l’acte : il parle le français ! Finie la délocalisation du langage dans le populisme, le brandissement de la menace, la démonstration en guise de pensée, fini le discours autocompassionnel (« ce n’est pas facile d’être Président vous pouvez me croire… Comprenez-moi… Le Premier Ministre et moi nous avons beaucoup travaillé… etc »). Finie la simplification des idées pour racoler les extrêmes, assez de ces mielleuses pédagogies de la certitude qui changent tous les deux mois. Stop. François Hollande rapatrie le français dans le discours présidentiel. Une langue généreuse, vive, subtile et ferme, une langue à hauteur du peuple à qui elle s’adresse, une langue qui rassemble en respectant la dignité de ceux qui l’écoutent, une langue faite de paroles que François Hollande tiendra, d’autant qu’à l’inverse d’autres, celles qu’il prononce c’est lui qui les écrit.”
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