1. Le risque posé par la Grèce pour les banques européennes a été substantiellement réduit.
2. La BCE a entrepris des actions fortes.
3. Les discussions avec les créditeurs privés sur une dépréciation de la dette grecque sont presque conclues.
4. Le gouvernement italien pousse des réformes.
5. Le gouvernement espagnol pousse des réformes.
6. Une reprise solide aux États-Unis.
7. Le gouvernement chinois pense que sa croissance va rester relativement forte en 2012.
Est-ce assez pour nous faire croire que le pire est derrière nous ? À vous de décider.
PS : pour un peu de distraction du week-end, jetez un coup d’œil à ceci, un exemple assez étrange d’humour suédois.
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