Le lifestreaming est encore encouragé. Etre soi-même, avec ses atouts et ses imperfections. On a certes des centres d'intérêt professionnels mais aussi des moments lite, plus relax et des préférences.
Aller vers de la transparence totale peut paraître utopique. Ensuite, à chacun de placer son curseur en ce qui concerne le degré d'ouverture.
Lors du premier atelier #TruParis, nous évoquions la nécessité de se focaliser sur le lien, le relationnel sur Facebook. D'ailleurs, il ne remplace pas l'espace Carrières mais joue un rôle complémentaire, en incitant les employés potentiels à en savoir plus sur l'entreprise.
Et pour les candidats potentiels ? Quelles sont les différentes frontières (thématiques) pour engager la conversation avec eux ? Uniquement parler de son entreprise, de ses intérêts, peut paraître égocentrique au final.
Ainsi, côté recruteurs, que ce soit sur Facebook ou sur d'autres médias sociaux, via une écoute active il y a la possibilité de retracer, de classer les différentes frontières thématiques et spécifiques des membres du réseau; soit un moyen d'humaniser la relation.
Côté candidats, être soi-même est un avantage. Jouer le tout pour le tout pour avoir le job, même quand le non-fit culturel est visible depuis le début, est le meilleur moyen de s'éloigner de ses aspirations.
D'un point de vue marketing, dans l'usage des frontières thématiques (la musique dans notre cas ci-dessous), il y a l'exemple des évènements R.I.D.E (Recruitment Industry Dance Event) où les recruteurs sont invités à réseauter et/ou à danser.