Vrac foisonnant !

Par Venise19 @VeniseLandry
L’édition : un chemin de croix ou de foi
Par-delà une poignée d'écrivains reconnus, que dissimule la réalité de l'édition? Les maisons font-elles correctement leur travail? Comment sont traités les manuscrits?
Des questions qui se posent et se répondent autant en France qu’ici.
Les écrivains sont-ils fréquentables ?
À Zone d’écriture, milieu actif où l’on se pose des questions existentielles, on s’est demandé ce qu’il faut savoir avant de s’engager dans une relation avec un écrivain. Caroline Allard, Marie Hélène Poitras, Stéphane Dompierre, Matthieu Simard et Samuel Archibald ont préparé la liste des 20 choses à savoir. - - - Prenez des notes, on ne sait jamais !
Des films, en veux-tu, en v’là !
Combien êtes-vous capable de nommer de romans québécois portés à l’écran, n'importe où, n’importe quand ? - - - Je ne veux pas vous enlever vos moyens mais Rue des Libraires en ont trouvé 21 !
$ Coup de cœur $
Quand ça va bien, ça peut aller encore mieux ! L’auteur du recueil de nouvelles Arvida, Samuel Archibald, déjà finaliste pour Le Prix des Libraires, se voit décerner une bourse des librairies Renaud-Bray. D’ailleurs, c’est une première que cette soirée bénéfice qui accorde une bourse à une œuvre choisie parmi ses Coups de cœur 2011, et 3 autres bourses d'ailleurs. Un collant apposé sur leur oeuvre que les écrivains prendront maintenant moins à la légère. Si elle était remplie de louis, cette bourse vaudrait son pesant d’or : 20,000 $ - Ça aide à payer l’hypothèque !
Vous ne connaissez pas Samuel Archibald ? Décidément, monsieur Archibald et les librairies, ça fait bon ménage, Rue des libraires l’a interviewé pour vous.
Moustachu de mes rêves
Le journal Métro offre aux usagers des transports en commun une tribune, Métro flirt, où ils peuvent déclarer leur amour à un mystérieux inconnu croisé dans le métro ou dans l’autobus. Le but étant que la personne convoitée se reconnaisse, puis qu’elle se manifeste par l’intermédiaire de la même tribune. L’émission Informan s’est penchée sur une missive. Et pour cause !
Pas pour les enfants
Ceux qui pensent encore que la bande dessinée, c’est pour les enfants, vont déchanter à Tout le monde en parle où Guy Delisle, auteur de bande dessinée québécois vivant en France depuis une vingtaine d’années, va parler de son album Chroniques de Jérusalem. Marié à une femme médecin (sans frontières), il l’accompagne dans ses voyages, prend des notes qui, au retour, se transforment en anecdotes et en dessins. C’est pas toujours jojo mais, d’après Marsi qui le suit à la trace, ces albums sont foisonnants d’informations sur le quotidien de pays visités tels la Birmanie, la Chine, la Corée du Nord). C'est à tout le moins un autre angle que celui des médias, affirme-t-il.
Moi
Ma mère m'a toujours dit qu'on devait se garder pour la fin. Je ne dérogerai pas à mes habitudes et ne tomberai pas dans la mare des confidences, mais j'ai promis d'apporter à votre attention mes billets @Voir. Je n'y manque pas, parce que ça fait drôlement mon affaire :-). J'en ai sorti un hier, Lisez-vous Lisée ?