Légalisation - La vérité est ailleurs

Publié le 18 janvier 2012 par Viesansdrogue @nonaladrogue

Une étude réalisée par le magazine aufeminin.com en décembre 2011 montre que 64% des personnes interrogées sont contre la légalisation du cannabis, soit deux personnes interrogées sur trois. (Cette enquête européenne a été réalisée en ligne, entre le 15 septembre et le 6 octobre derniers, auprès de 3.156 sondés en France, Espagne, Italie et Allemagne.)
Entre les partisans du tout répressif et ceux de la légalisation il n'existe pas de compromis ou de juste milieu acceptable. Les deux conduisent le toxicomane et la société dans le mur c'est à dire vers la fameuse politique de "réduction des risques". A long terme, même si cela semble règler le problème parce que le toxicomane se retrouve en prison ou en institution psychiatriaque pendant un certain temps, cela  représente un coût non négligeable pour la société et pour le toxicomane cela signifie une obligation de "soin", c'est à dire l'obligation de consommer des drogues de substitution, l'obligation d'être drogué à vie avec toutes les conséquences pour la santé et non une véritable réhabilitation et réinsertion dans la société. 
Les seuls à qui cela profite sont les laboratoires fabriquant ces drogues de substitution que sont la méthadone et le subbutex.
On veut nous faire croire qu'il n'y a pas de solutions ! 
Pourtant il existe des programmes de réhabilitation efficaces comme le programme Narconon (nos voisins italiens et espagnols en profitent déjà) et des programmes d'éducation qui fonctionnent comme celui de la fondation Internationale pour un monde sans drogue auquel "Non à la Drogue, Oui à la Vie " est associé.
Cette enquête montre encore que près de la moitié des Européens (45%) pense que les ados consomment des drogues "par pur mimétisme social", contre 30% qui estiment que c'est pour le côté festif, et 20% à cause d'un mal-être.
L'éducation est tout à fait à même de venir à bout de la majorité des raisons qui poussent un jeune à consommer des drogues et il ne suffit pas de faire cette éducation en direction des addos, comme le pointe du doigt cette même enquête (A peine 3% des Européens des affirment que les campagnes de prévention contre la drogue à destination des adolescents sont véritablement efficaces), mais aussi des enfants plus jeunes, si possible avant le collège et également, c'est très important, des parents.
Nous avons eu à plusieurs reprises quand nous faisons de l'information sur le terrain, des parents qui nous disent, mon fils ou ma fille en sait plus que moi sur les drogues ! Pourtant, par enquête auprès des jeunes l'on sait que l'influence des parents est très importante en ce qui concerne l'éducation même si les parents n'en sont pas forcément conscients et cette influence est d'autant plus importante qu'elle se produit tôt, dès que l'enfant est à même de comprendre les notions impliquées.
C'est pourquoi notre association persiste à travailler en direction de la prévention, la prévention par l'éducation qui permet à toute personne de prendre une décision en connaissance de cause.
Comme le rappelle le président de l’association « Non à la drogue, oui à la 
vie » Robert Galibert :
"Les discours moralisateurs, les discours qui font peur ou les interdictions
ne servent à rien. Tout leur permettre et fermer les yeux, en se disant que
c’est l’adolescence, que c’est un passage obligatoire, c’est encore pire.


Les jeunes doivent apprendre à refuser la drogue de part leur propre choix,
de part leur propre volonté, parce qu’ils ont compris pourquoi elle est
dangereuse et qu’ils ont décidé que leur vie ne sera pas une vie gâchée par
la drogue. »


Si nos enfants échappent aux dangers de la route, c’est parce qu’on leur
apprend à regarder avant de traverser la rue dès leur plus jeune âge. C’est
notre devoir de parent et d’ami de leur enseigner la vérité sur la drogue."
C’est pourquoi la campagne de prévention de l’association « Non à la
drogue, oui à la vie » met l’accent sur l’information.
Elle s’appuie sur le « kit de prévention » qui comprend 13 brochures
factuelles sur les drogues les plus courantes (Cannabis, Héroïne, Cocaïne,
Crack, Ecstasy, LSD, Antidouleurs, Crystal Meth, Ritaline, alcool, drogues
psychotropes prescrites ou drogues par inhalation), ainsi qu’une série de 16
spots vidéo de 30 secondes intitulés« ils ont dit, ils ont menti » et enfin plus
de 200 témoignages vidéo basés sur des expériences authentiques.
L’association « Non à la drogue, Oui à la vie » propose également des
conférences-débats afin d’expliquer très simplement tous les mécanismes
et répondre aux questions.
Pour obtenir davantage d’information sur les actions de l’association
ou pour télécharger ou obtenir gratuitement ses publications, visitez le site
internet :www.nonaladrogue.org
Contact presse : Robert Galibert au  06 20 51 17 57      
info.drogue@gmail.com ou http://cestquoiladrogue.fr