Ce qui s’éloigne
De la flamme et du feu
Qui te brûlent de nuit
Par de brefs à-coups de lumière
Cercle de silence
Qui s’agrandit dans la durée
Et la distance du ciel
Jusqu’à la pointe extrême du regard
Corps à corps
A cœur à cri qui exulte
Comme une voix amplifiée
Par ce tourbillon d’images et de couleurs
Mémoire d’un souffle éteint
Qui rassemble à nouveau
Dans l’air les divers éclats
Et lambeaux du soleil
François Teyssandier