Comme il en a pris, l’habitude et comme il séyerait aux esprits les plus réactifs, je trouve que la démarche de Vladimir V,-en vue, de porter son regard sur les débats arborant comme fait et cause, la campagne présidentielle-très concluante, puisque loin, de se focaliser sur et se résigner à l’improbable, il s’emploie à privilégier, la force des idées et des propositions, non la force de la dénonciation et des revendications stériles, pour affirmer haut ce à quoi, sa vocation d’économiste ultra libéral, le contraint à admettre ou non, relativement à cette vaste littérature, consacrée à la plus importante crise économique de notre époque, y compris les débats qui viennent orner, la conscience collective, en ces temps très prisés de campagne présidentielle, afin de la rendre(conscience collective), permissive aux procédés conceptuels à travers lesquels les politiques entendent la résoudre (crise) et la booster hors des sentiers battus.
Par ailleurs, lorsque Vladimir V, soutient que les politiques font des finances un bouc émissaire dans cette crise, en signalant, que l’explosion des déficits publics et la hausse éffreinée de l’endettement, sont l’oeuvre de la politique qui soutient la relance par l’endettement et les dépenses publiques, autrement une politique de soutien monétaire (création de biais et incitation à accorder des prêts aux ménages pauvres, dans le but de favoriser l’accession à la propriété), qu’il place par ailleurs, comme problématique économique à la rencontre entre l’interventionnisme et la régulation.
Pour ma part, je trouve contrairement à plusieurs économistes, que cette politique de soutien monétaire à l’économie-bien qu’elle ait été à l’origine de la crise des subprimes, pour avoir fait les frais de la discontinuité des politiques publiques-s’inscrit dans la logique inculquée au concept de développement à travers l’évolution, puisque l’objectif de tout processus de développement humain, consiste à satisfaire un besoin exprimé dans le cadre du bien être. Ce qui signifie, à quoi servirait la politique familiale, des USA à la suite d’un développement exponentiel de son économie, si la majorité des américains ne pouvait accéder à la propriété immobilière? Moins, l’enrichissement au profit de la spéculation financière, et rien que pour le profit, mais le bien-être élargi, à un nombre croissant de personnes….
De cet article, Vladimir V, nous fait l’apologie de la finance, en vantant ses mérites tous azimuts, le disculpant automatiquement de toutes responsabilités, sauf omission de sa part, d’un certain nombre faits, lorsqu’il se lasse apparemment d’énumérer les contraintes liées à la crise actuelle, à savoir: que la tendance actuelle au libéralisme observée à l’échelle planétaire, et le rôle des finances, font que nul ne peut s’affranchir de l’introduction en bourse, une fois que le capital atteint un certain seuil, bien qu’il décline toutes responsabilités pour les finances dans la baisse de l’efficacité des protections sociales et du système éducatif, lesquels secteurs, relèvent aux USA, pas en France, des organismes cotés en bourse, d’où la répercussion de la faillite des banques Américaines sur le reste de la planète.
Ps: Le populisme, entrevu comme concept, est à craindre de nos jours, lorsqu’il ne s’apparente pas, à sa conception littéraire et politique originelles…
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