Si j’étais un objet technologique ?
L’appareil photo. Mes parents m’ont offert mon premier appareil lorsque j’avais 12 ans. C’était un Kodak Disc, une nouveauté de l’époque. Je n’arrêtais pas de faire des photos… et je ne me suis plus arrêtée depuis. La photo est quelque chose de très présent chez mes parents et ils m’ont transmis cette envie de garder des souvenirs de tout et de tous. Mon seul regret ne pas savoir utiliser un reflex.
Si j’étais une planète ?
Plus jeune, je disais que ma planète préférée était Pluton, sans doute parce que c’était la plus éloignée. Cet aspect là de la planète me plaisait beaucoup. Mais aujourd’hui, elle n’est plus considérée comme une planète alors…
Si j’étais une friandise ?
J’hésites entre l’ourson guimauve et le fraisier. Et encore, le choix est difficile tellement il y a de choses délicieuses…
Si j’étais un opéra ?
Je ne peux qu’opter pour un lieu car je n’ai encore jamais vu d’opéra mais cela fait partie des choses à voir… Et dans ce cas, je choisis le Palais Garnier. Ce lieu est tout simplement magnifique et magique. Se balader dans ses couloirs nous transporte dans une autre époque.
La voiture mais celle des années 50/60 parce qu’elles avaient une bien plus belle esthétique que celles d’aujourd’hui.
La gourmandise parce que je ne peux résister aux bonnes choses sucrées et salées.
Si j’étais une attraction foraine ?
Un carrousel parce que c’est un très beau manège et surtout parce qu’il est plutôt tranquille et que je n’aime absolument pas les attractions qui retournent la tête et l’estomac.
Si j’étais un tableau ?
Une œuvre de Fragonard ou de mon père… Le 1er parce que j’aime son style, sa finesse et le 18e siècle. Le 2nd parce que là, c’est le cœur qui parle. Et en toute objectivité, il a aussi beaucoup de talent.
Si j’étais une matière à l’école ?
L’anglais parce que c’était finalement la seule qui m’intéressait à l’époque mais qu’aujourd’hui je ne pratique plus (ou seulement avec les touristes dans les rues de Paris).
Si j’étais un personnage de dessin animé ?
Maya l’abeille parce que j’étais déguisée en abeille lors d’un spectacle à la maternelle et que depuis, Maya a une place toute particulière dans la mémoire familiale.
Crédit photos : © La Parisienne