« La loi HADOPI ne frappe pas uniquement les Internautes privés. Elle concerne aussi les Fournisseurs d’accès (FAI), comme Free ou Numéricâcle, qui doivent mettre en place des procédures pour traquer le téléchargement illégal. Et la facture est salée : 2,5 millions d’euros, a dévoilé hier lexpress.fr »
20 Minutes à visiblement du mal à assimiler que ce ne sont pas les FAI qui traquent les Internautes, mais les ayants droit, via une petite bande de grands comiques basés à Nantes, TMG.
Les fournisseurs d’accès Internet, on ne leur demande qu’une chose, c’est de mettre un nom sur un numéro (une adresse IP). C’est le coût de cette identification dont on parle ici pour les 2,5 millions d’euros… un coût sur lequel Christine Albanel expliquait en son temps qu’il serait anecdotique.
L’anecdote à 2,5 millions d’euros pour financer une industrie de vautours capables de ça, je ne vais pas vous faire un dessin et je vais m’arrêter là avant de devenir grossier.
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