Parmi eux bien sûr de très nombreux journalistes surexcités par la présence en ligne de leur star médiatique du moment qui veulent absolument recueillir la plus petite miette de communication élyséenne jetée aux pigistes pigeons passant du statut de Twittos à celui de Miettos, c’est rigolos.
Comment ne pas faire le parallèle avec le comportement pathétique d’ados boutonneux pistant la moindre bribe de mouvement de leur idole, ou les émotions chaleureusement humides de jeunes filles hystériques à la moindre bribe de parole lancée comme un bouquet de mariée à la foule avinée ?
Nul doute que Nicolas Sarkozy s’amusera jusqu’à la présidentielle à mener par le bout du nez les journalistes d’astreinte sur les réseaux sociaux comme naguère François Mitterrand qui excellait dans cet exercice sans bénéficier d’ailleurs de toute la puissance de la technologie et de la communication étendue.
Nicolas Justin Bieber Sarkozy is on line, yeah !
Nul doute que nos amis journalistes seront plus attentifs et pertinents dans le suivi de la réforme des retweets que dans l’analyse de la réforme des retraites !
Quel beau métier.