La Guadeloupe nous dit : Le carnaval oui, mais pas au prix de notre santé.

Publié le 10 février 2012 par Wil1953

Salut !

Bonjour la Guadeloupe ! Et les autres pays, vous n'êtes pas oubliés.

Cette île française nous dit , car nous sommes nous aussi concernés.

Source : Fl. B France-Antilles Guadeloupe

Le carnaval est parfois la période de tous les excès, en particulier pour les jeunes. Le Centre de soins, d'accompagnement et de prévention en addictologie (Csapa) de Basse-Terre organisait une journée de sensibilisation aux différents types d'addictions.

Avec le passage des écoles, ce sont des centaines de visiteurs, de tous âges, qui ont défilé toute la journée dans les différents stands. (Fl. B.)

On le sait, la période carnavalesque est une période à risques élevés s'agissant des conduites addictives et autres abus. Consommation et expérimentation d'alcools et de drogues, rapports sexuels non protégés, notamment, sont légion. Fort de ce constat, l'idée de proposer une manifestation consacrée aux précautions à prendre durant et après le carnaval a germé dans la tête de deux stagiaires, Léïla Saban et Isabelle Farhasmane. « GARDER LE CÔTÉ FESTIF DU CARNAVAL » Pour cela, une partie de la rue Baudot a été rendue aux piétons, mardi, pour l'installation de chapiteaux face au numéro 10 de cette même rue, adresse du Centre de soins, d'accompagnement et de prévention en addictologie (Csapa) de Basse-Terre, organisateur de l'événement. « On peut s'amuser, on peut défiler, mais il convient d'user d'un certain nombre de précautions. » C'est le message que tenaient à faire passer Léïla Saban et Isabelle Farhasmane. Manifestement, il a été bien reçu par les nombreux et surtout jeunes visiteurs de cette manifestation. « Nous avons voulu garder le côté festif du carnaval, explique Françoise Durizot-Eynaud, cadre socio-éducatif au Csapa de la Basse-Terre. C'est la raison pour laquelle des ateliers d'expression artistique ont été installés avec ce décor réalisé par Voukoum (qui a clôturé la manifestation). Le public a également pu apprécier un atelier de poterie, l'atelier de percussions de Joby Julienne, ainsi que la présence du champion de la Guadeloupe de slam, tout en pensant à sa santé. »   La suite : http://www.guadeloupe.franceantilles.fr/actualite/culture-et-patrimoine/le-carnaval-oui-mais-pas-au-prix-de-notre-sante-10-02-2012-157705.php