Il n’y aura désormais plus d’ambiguïté possible, si dans l’esprit de certains il y en avaient encore. Nicki Minaj est une catastrophe incapable de pouvoir défendre le Hip hop comme il se doit. Avec toute son exposition, elle n’a réussi à nous produire un son urbain de qualité de sorte à remercier sa base de lui avoir permis d’en être là où elle est.
Au contraire, elle s’enfonce et pour essayer de sauver son album, elle s’attaque au terrain de Britney pears, Katy Perry et autres Kesha. Starships sonne comme un mix entre » Teenage Dream » , « Till The worlds ends » parsemé de passages dance à la » We Found Love » de Rihanna qui donnent juste envie de se taillader les veines. Le prototype même du titre clinex et sans âme qui n’aurait jamais du quitter les 80′s de la part d’une désespérée qui rêvait d’être rappeuse.
J’ose espérer que la chute sera aussi rapide et lourde que l’ascension pour qu’elle aille faire animatrice pour clubs de dragqueens, chose à laquelle elle m’a toujours semblé pieusement destinée.