J’ai découvert un petit bijou : une voix de crooner “black” dans un corps de “White sylphide” : un décalage entre la finesse et la féminité d’un corps et la force virile d’une voix !
Apparemment âgée de 30 ans, originaire de Sint-Amandsberg, à la périphérie de Gand, Lady Linn est connue en Belgique depuis le milieu des années 2000. Avec ses musiciens, les Magnificent Seven, elle a d’abord évolué dans une manière de jazz swing des années 1930-1950 avant de faire entendre dans son premier album en 2008 (Here We Go Again) une approche soul et rhythm’n’blues.
Très entraînant son “jazzy” de son nouvel album “No goodbye at all”, légèrement soutenu par un piano (le titre Nina – mon préféré je crois) et des voix pour certains morceaux, version accompagnement des stars des “Sixtie’s” avec Saxo ! Excessivement gai et ludique !!!
Entre “Swing” et “Pop”… une résurrection de Nina Simone ???
Je vous laisse déguster avant sa sortie le 19 mars !