Le maire, Mr Hervé Maurey devait faire le 14 février 2012 une annonce quant à la finalité des conflits qui opposer parents d'élèves, "FCPE" et la mairie sur la peur de voir fermer 3 classes à Bernay.
Le maire annonça donc que les classes Bernayenne étaient sauvées.
Sachant que le paysage scolaire Eurois, lui en prend encore cette année un sacré coup avec la suppression de 9 classes ainsi que 36 postes.
Alors, déjà, rectification importante, ce ne fut jamais 4 classes qui furent menacées, mais bien 3 confirmera le maire (sur sa page "FB").
Donc, durant s'est derniers 15 jours nous avons vues les blocages des entrées des écoles primaires concernés par les parents d'élèves des deux écoles incriminés "Jean Moulin" sur le stade est celle du Bourg le compte.
Le maire lors de la réunion de quartier qui à eux lieu sur le stade le 2 février 2012 (voir mes deux récents articles résumés) s'en était expliquer comme suit (cité de mémoire) :
"L'académie de Rouen à décider la suppression de 36 postes".
Ensuite, sur la question de quelqu'un dans la salle "Pourquoi fermer des classes à Bernay alors que l'on reconstruit l'école Jean Moulin" celui-ci répondit encore (de mémoire) :
"Qu'il s'agissait là de taux d'élèves par classes, qu'il en fallait au moins 27 pour le maintien de celle-ci" alors que parait-il, les classes visées avaient leurs comptes d'élèves pour la rentrée 2012.
Ce à quoi un de mes contacts "FB" complétera le propos comme suit (ce qui n'engage que lui d'ailleurs rire) :
"La fermeture d'école est à la seule initiative du Maire d'une commune. S’il reste 3 classes, l'Éducation Nationale ne peut ordonner une fermeture, c'est juste la loi".
N'oublions pas la fermeture définitive de "Jules Ferry" qui devaient, si je ne me trompe pas contenir tout de même 4 classes à elle toutes seules dont une pour enfants à problèmes spécifiques (la "CLIS" et/ou "RASED").
Puis point final de cette série d'actions l'appel lancé par la "FCPE" pour une marche en ville le samedi 11 février 2012 qui à vue près de 200 personnes de tous bords et de tous âges remonter la rue Thiers, etc., pour montrer leurs mécontentements bien légitime.
Donc, sur ma page "FB" et "Twitter" un peu en avance, j'annoncer alors dès vendredi en fin de journée la finalité de la chose, que le maire aller annoncée le mardi suivant, comme quoi les classes étaient sauvées.
Le maire sur ma page alors répondit ceci :
"Concernant les 3 fermetures de classe, je suis intervenu auprès des services de l'État pour les éviter. Nous verrons le résultat mardi".
Mais il n'attendit pas mardi pour le faire savoir.
En effet, sur sa propre page "FB" il notifiât qu'il était :
"Heureux d'avoir pu éviter les fermetures de classe à l'école élémentaire du bourg le comte et à l'école élémentaire et maternelle Jean Moulin".
Je donner donc mon avis, et posa la question lorsqu'une de s'est conseillères municipales charger de la petite enfance intervinssent pour la félicité.
Je lui fis alors part du soulagement du dénouement de cette "Affaire" et lui dis donc que le mouvement de contestation engagée par les parents d'élèves n'était pas à remiser aux calendes grecques et qu'ils ont aussi aidé au dénouement de ce nœud.
Puis je poser donc la question suivante et bien naïvement sur le fait qu'il ne m'avait pas semblez voir en tête de marche aux côtés de G. Launay, L. Prévost (maire de Serquigny) et quelques conseillers municipaux de l'opposition, des membres de l'équipe de Mr le maire.
Ce à quoi elle me répondit :
"Nous avions quelques obligations municipales, mais nous étions deux devant la sous-préfecture à la fin du défilé du cortège".
Et Mr Maurey de me répondre en, quelques parts, prenant la défense de s'est amis et collègues ceci :
"Qu'il ne servait à rien que nous allions manifester dès lors que je savais que nous aurions satisfaction".
Ce à quoi je rétorquais, tout de même un peut choquer de cette réponse facile, comme s'il savait dès le départ (le début des blocages des écoles) le résultat un :
"Oui, peut-être Mr, mais le geste d'être auprès de vos concitoyens et un geste je crois importent pour des représentent de l'état et de la ville non ?"
Je continuais ainsi mon argumentation comme suit :
"Après, il va de soi que je ne juge pas de ceci cela, chacun vois s'est priorités, je donne juste mon point de vue s'est tout'.
Donc, au final, les trois classes menacées ne le sont plus et rouvrirons lors de la rentrée 2012.
Merci à ceux / celles qui ont aidé aux soutiens de s'est moments de luttes et aussi merci au maire pour avoir joué de son influence auprès des instances intéresser.
Photographie : "Marche pour sauver le paysage scolaire Bernayen" par le citadin février 2012©®.
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