Magazine Culture
J'avoue que je commence doucement à saturer. J'ai la désagréable impression que cette concentration (obsession?), ces interminables discussions sur des problèmes d'accès (qui peut, qui peut pas, comment, pourquoi, avec quelle carte, etc.) permettent d'éviter soigneusement de se poser des questions sur les véritables enjeux, présents et à venir, de nos métiers. Il m'arrive de voyager un peu, tout de même, et donc de voir comment ces "problèmes" d'accès n'en sont généralement pas, ailleurs (avec des exceptions, je vous l'accorde). J'ai mes petites obsessions aussi, n'est-ce pas, comme par exemple l'utilisation d'outils "web 2.0" (pour faire court et rester très vague). Mais je suis souvent accueilli par la plupart avec un sourire poli. Genre: il est gentil... Pas de souci, restons 0.0 et péniblement accessibles...