. Pour les Addict des jeux vidéo, l'attente aura été longue, mais ils sont parvenus à leur fin. Pour la première fois en six ans d’existence, l’Intel Extreme Masters se tient en Amérique du Sud, sur le Campus Party Brazil de Sao Paulo, qui accueillera le défi mondial du 6 au 12 février. Au total, plus de 7000 personnes passionnées d’informatique y assistent et ont décidé pour l’occasion de planter leurs tentes dans le campus. Comme à chaque tournoi «offline», plusieurs joueurs de tous les continents s’affronteront, dont quatre Européens qui se départageront après deux tournois qualificatifs. " title="On joue tous à quelque chose...." />
. Pour les Addict des jeux vidéo, l'attente aura été longue, mais ils sont parvenus à leur fin. Pour la première fois en six ans d’existence, l’Intel Extreme Masters se tient en Amérique du Sud, sur le Campus Party Brazil de Sao Paulo, qui accueillera le défi mondial du 6 au 12 février. Au total, plus de 7000 personnes passionnées d’informatique y assistent et ont décidé pour l’occasion de planter leurs tentes dans le campus. Comme à chaque tournoi «offline», plusieurs joueurs de tous les continents s’affronteront, dont quatre Européens qui se départageront après deux tournois qualificatifs. " border="0" />
. Pour les Addict des jeux vidéo, l'attente aura été longue, mais ils sont parvenus à leur fin. Pour la première fois en six ans d’existence, l’Intel Extreme Masters se tient en
Amérique du Sud, sur le Campus Party Brazil de Sao Paulo, qui accueillera le défi mondial du 6 au 12 février. Au total, plus de 7000 personnes passionnées d’informatique y assistent
et ont décidé pour l’occasion de planter leurs tentes dans le campus. Comme à chaque tournoi «offline», plusieurs joueurs de tous les continents s’affronteront, dont quatre
Européens qui se départageront après deux tournois qualificatifs.
Sniper sauteur. À l’exercice, ce sniper de l’armée indienne se jette sur le sol avant de prendre position. En tenue de camouflage, il rejoint ainsi son coéquipier déjà prêt à faire feu à sa gauche. Une manœuvre organisée dans le Rajasthan, non loin de la frontière avec le Pakistan. C’est l’occasion d’essayer sur le terrain leur nouvel uniforme, un tiers rasta, un tiers poil de briard, un tiers vieille serpillière. Toutefois, en dépit du ridicule apparent de leur tenue, ces tireurs d’élite utilisent Le même dispositif que les armées du monde entier. Cet assemblage de tissus, adaptable à tous les terrains, constitue actuellement le meilleur camouflage au monde. Même les drones s’y perdent. " title="On joue tous à quelque chose...." />
Sniper sauteur. À l’exercice, ce sniper de l’armée indienne se jette sur le sol avant de prendre position. En tenue de camouflage, il rejoint ainsi son coéquipier déjà prêt à faire feu à sa gauche. Une manœuvre organisée dans le Rajasthan, non loin de la frontière avec le Pakistan. C’est l’occasion d’essayer sur le terrain leur nouvel uniforme, un tiers rasta, un tiers poil de briard, un tiers vieille serpillière. Toutefois, en dépit du ridicule apparent de leur tenue, ces tireurs d’élite utilisent Le même dispositif que les armées du monde entier. Cet assemblage de tissus, adaptable à tous les terrains, constitue actuellement le meilleur camouflage au monde. Même les drones s’y perdent. " border="0" />
À l’exercice, ce sniper de l’armée indienne se jette sur le sol avant de prendre position. En tenue de camouflage, il rejoint ainsi son coéquipier déjà prêt à faire feu à sa
gauche. Une manœuvre organisée dans le Rajasthan, non loin de la frontière avec le Pakistan. C’est l’occasion d’essayer sur le terrain leur nouvel uniforme, un tiers rasta, un
tiers poil de briard, un tiers vieille serpillière. Toutefois, en dépit du ridicule apparent de leur tenue, ces tireurs d’élite utilisent Le même dispositif que les armées du
monde entier. Cet assemblage de tissus, adaptable à tous les terrains, constitue actuellement le meilleur camouflage au monde. Même les drones s’y perdent.
(AP/SIPA)
Jouer à cou-couche panier médor!
Pas bouger fi-fille, t'auras une petite caresse....
Message thaïlandais.Allongée, les mains jointes en signe de profond respect, Yingluck Shinawatra, Premier ministre thaïlandais, rend hommage à la princesse Maha Chakri Sirindhorn, à l’occasion de l’anniversaire du roi Bhumibol Adulyadej. Une scène ahurissante qui en dit long sur le protocole de la monarchie et le culte dont la famille royale fait l’objet. Âgé de 84 ans et sur le trône depuis 65 ans, le roi de Thaïlande, le plus ancien monarque en exercice dans le monde, est considéré comme un véritable demi-dieu. Comme les autres membres de sa famille, qui n’ont aucune prérogative constitutionnelle, mais exercent une très forte autorité morale. Tout comme le comité chargé de la répression contre les crimes de lèse majesté. " title="On joue tous à quelque chose...." />
Message thaïlandais.Allongée, les mains jointes en signe de profond respect, Yingluck Shinawatra, Premier ministre thaïlandais, rend hommage à la princesse Maha Chakri Sirindhorn, à l’occasion de l’anniversaire du roi Bhumibol Adulyadej. Une scène ahurissante qui en dit long sur le protocole de la monarchie et le culte dont la famille royale fait l’objet. Âgé de 84 ans et sur le trône depuis 65 ans, le roi de Thaïlande, le plus ancien monarque en exercice dans le monde, est considéré comme un véritable demi-dieu. Comme les autres membres de sa famille, qui n’ont aucune prérogative constitutionnelle, mais exercent une très forte autorité morale. Tout comme le comité chargé de la répression contre les crimes de lèse majesté. " border="0" />
Allongée, les mains jointes en signe de profond respect, Yingluck Shinawatra, Premier ministre thaïlandais, rend hommage à la princesse Maha Chakri Sirindhorn, à l’occasion
de l’anniversaire du roi Bhumibol Adulyadej. Une scène ahurissante qui en dit long sur le protocole de la monarchie et le culte dont la famille royale fait l’objet. Âgé de
84 ans et sur le trône depuis 65 ans, le roi de Thaïlande, le plus ancien monarque en exercice dans le monde, est considéré comme un véritable demi-dieu. Comme les autres
membres de sa famille, qui n’ont aucune prérogative constitutionnelle, mais exercent une très forte autorité morale. Tout comme le comité chargé de la répression contre les
crimes de lèse majesté.
(REUTERS)
Jouer à Eva Joly en campagne....
C'est dur de pousser les verts à la victoire!
Infime «sisyphe». Pour réaliser cette image, le photographe indonésien Teguh Santosa s’est amusé à placer divers obstacles sur la route détrempée empruntée habituellement par les fourmis qui pullulent autour de chez lui. Après avoir disposé des billes de verre, qui ont plongé les insectes dans une profonde perplexité, il a pu observer leur étonnante réaction : confrontés à un nouveau problème, certains ont contourné l’obstacle, d’autres l’ont escaladé. Puis l’entomologiste amateur a découvert la perle rare : un minuscule «Sisyphe», qui a décidé, lui, de prendre le problème à cœur et de pousser la bille à la force de ses fines pattes arrière. Rien n’a pu distraire la fourmi de ses vains efforts. " title="On joue tous à quelque chose...." />
Infime «sisyphe». Pour réaliser cette image, le photographe indonésien Teguh Santosa s’est amusé à placer divers obstacles sur la route détrempée empruntée habituellement par les fourmis qui pullulent autour de chez lui. Après avoir disposé des billes de verre, qui ont plongé les insectes dans une profonde perplexité, il a pu observer leur étonnante réaction : confrontés à un nouveau problème, certains ont contourné l’obstacle, d’autres l’ont escaladé. Puis l’entomologiste amateur a découvert la perle rare : un minuscule «Sisyphe», qui a décidé, lui, de prendre le problème à cœur et de pousser la bille à la force de ses fines pattes arrière. Rien n’a pu distraire la fourmi de ses vains efforts. " border="0" />
Pour réaliser cette image, le photographe indonésien Teguh Santosa s’est amusé à placer divers obstacles sur la route détrempée empruntée habituellement par les fourmis
qui pullulent autour de chez lui. Après avoir disposé des billes de verre, qui ont plongé les insectes dans une profonde perplexité, il a pu observer leur étonnante
réaction : confrontés à un nouveau problème, certains ont contourné l’obstacle, d’autres l’ont escaladé. Puis l’entomologiste amateur a découvert la perle rare : un
minuscule «Sisyphe», qui a décidé, lui, de prendre le problème à cœur et de pousser la bille à la force de ses fines pattes arrière. Rien n’a pu distraire la fourmi de
ses vains efforts.
(Caters News/SIPA)