L'animatrice a été passablement bête de s'approcher ainsi mais ce qui m'a le plus étonné (lire déçu) ce fût de voir les deux hommes ne pas réagir du tout à sa blessure qui semblait importante. Ça me faisait penser à mon père qui défendait systématiquement son chien quand nous lui disions qu'il était malin. Son chien n'était jamais coupable de rien. Ou comme ces parents qui ne trouvent jamais aucun défaut à leurs enfants.
Parlant de grands moyens. Les Hommes, cette race planétaire décevante parfois, prend souvent les grands moyens pour broyer de l'adversaire. Des techniques de chiens sales.
Ce n'est pas comme ça que les médias l'ont compris mais c'est comme ça que le milieu sait très bien ce qui s'est passé. "On va la casser la petite madame" ce sont dits les Wall Street Boys.
Ailleurs, on ne lâche pas Julian Assange non plus. Cet homme a créé un tel renversement mondial que l'on a pris les méthodes de chien de guerre sur lui. Il joue ses dernières cartes dans une guerre lasse menée par des lâches.
Une victime créé par Assange est aussi Bradley Manning, soldat né dans le mauvais pays. Of the land and of d'l'ostie. Manning sera bientôt mis en accusation pour "collusion avec l'ennemi". Bien sûr il plaidera non coupable puisque "l'ennemi" ici n'est franchement pas clair. Une accusation d'"obstruction stratégique" je comprendrais davantage mais collusion avec l'ennemi? non.
C'est ce que ce parfait imbécile de Robert Dutil tente de faire avec une enquête tout ce qu'il y a de plus clownesque. Les intentions sont plus que claires: dans un premier temps faire diversion car le Service de Police de la Ville de Montréal à été 100% incompétent dans le dossier; et dans un deuxième temps intimider les journalistes qui serait tenté d'obtenir des scoops.
À Robert Dutil.
Ça fait mal de voir la population plus mentalement agile que ses animaux de leaders.
Ça console toutefois de penser qu'on peut avoir un impact et être celui qui tient la laisse.
Vient donner un ti-bec à mon Pitbull, Robert...