La malhonnêteté intellectuelle n’aura donc pas de limite ? Sarkozy est clivant, voilà en effet une litote. Il serait très indécent de prétendre le contraire. Pour autant faudrait-il comprendre, en contraste que Hollande ne l’est pas ? A lui seul l’apanage du rassembleur se refusant à opposer les idées et les références ? Pourtant la démocratie, qui suppose le choix, ne serait-t-elle pas clivante par essence ? Des choix sont proposés, une majorité se détermine à partir de ces différentes propositions plus ou moins appréciées, mais personne n'est qualifié pour décider avant le choix de ce qui oppose véritablement ou divise radicalement.