La langue française est si complexe! Orthographe, genre, nombre, tout cela fourmille de règles indigestes et d’exceptions imbuvables. Par exemple les pluriels: tout n’est hélas pas aussi simple que «un enfant, des enfants» ou «un cheval, des chevaux».
Par exemple, connaissez-vous les pluriels suivants? On les appelle les pluriels méconnus….
Un rat, des goûts;
Un cas, des colles;
Un pont, des râbles;
Un flagrant, des lits;
Une voiture, des mares;
Un évier, des bouchers;
Un scout, des brouillards;
Un bond, des buts;
Une dent, des chaussées;
Un air, des confits;
Un beau, des cors;
Un mur, des crépis;
Un vrai, des dalles;
Un valet, des curies;
Une passagère, des faïences;
Un drogué, des foncés;
Une jolie, des gaines;
Un crâne, des garnis;
Un frigo, des givrés;
Une moue, des goûters;
Un brusque, des luges;
Un ministre, des missionnaires;
Une grosse, des panses;
Un propos, des placés;
Une cinglante, des routes;
Un fâcheux, des agréments;
Un patron, des spots;
Un délicieux, des cerfs;
Une bande, des cinés;
Un sirop, des râbles;
Un argent, des tournées.
Et le meilleur pour la fin :
Une bière ? des haltères
Une fidèle de ce blog m'a envoyé ce texte par Internet et je me dis qu'il y a sans doute bien d'autres pluriels méconnus de ce genre qu'il vous appartient de confectionner à présent et de m'envoyer dans les commentaires ci-dessous.
Et pour en savoir plus sur Marc Moulin, cliquez sur la couverture du livre.