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De part mon boulot et mes loisirs (ahem), je suis amené à prendre pas mal de taxis... quand j'en trouve. Et quand j'en trouve après m'être tapé dix minutes de Vivaldi, une crampe au bras, les doigts gelés mais l'oreille brûlante, j'enchaîne une fois assis (affalé) avec Rire & Chansons, top à quatre du mat' ! Pis, je dois même subir l'odeur subtile du sapin magique, mauvaise combinaison avec une demi-bouteille de Brouilly dans la panse. En version diurne (pro), on remplace par la queue derrière les touristes en valise à roulettes à la station de taxi bondée, les Grosses Têtes en fond (et à fond), et le café Selecta de la gare qui baigne trop près des molaires grâce à la conduite douce par à coups du chauffeur un tantinet bavard... Je force légèrement le trait, mais bon.