The Mentalist // Saison 4. Episode 14. At First Blush.
Après le très sympathique épisode de la semaine dernière qui nous présentait de nouveaux éléments sur l'affaire Red John, cette semaine aucun signe de Red John mais une palette de guest star :
Bonnie Somerville (Cashmere Mafia), Diane Farr (Numb3rs), James Frain (The Cape), Samaire Armstrong ("Lucky Girl"), Kathryn Joosten (Desperate Housewives). J'ai bien aimé le fait que l'on fasse
une pause dans l'histoire de Red John. Cet épisode était une bouffée d'air frais assez bien menée. Je ne dirais pas que l'épisode était excellent, car il y a pas mal de défauts mais avec toutes
ces stars dans un même épisode, mais également une intrigue pas forcément super banale. On était donc dans de bonnes conditions pour ce nouvel épisode. Sans parler du retour de Samaire Armstrong
que l'on avait déjà vu voir dans l'épisode 8 de la saison. Son histoire avec Cho est rafraichissante et j'espère qu'elle va rester dans les parages un petit moment car son personnage un peu fou
sur les bords apporte cette dose d'énergie vivante dont la série a bien besoin.
L'intrigue entre Cho et Rigsby était correcte. Disons que l'interaction entre les deux personnages a toujours été bien tenue mais cet épisode remet en question leur amitié finalement. Cho a
besoin de quelqu'un pour lui, qui puisse être là pour lui. C'est pourquoi la scène finale dans l'ascenseur était excellent. J'espère que Summer va rester dans les parages un moment. Franchement,
le personnage a apporté ce qu'il fallait de fraicheur et de sympathique à Cho. Ce dernier était dans une phrase que j'aimais pas trop. On avait l'impression que de jouer dans la série ça le
saoulait. Mais là il y a un regain d'intérêt. En mettant Red John de côté on s'intéresser aux autres personnages ce qui est une très bonne idée finalement. Surtout Cho qui manque d'intérêt depuis
les débuts de la série quand on y pense.
Note : 6/10. En bref, un épisode avec beaucoup de guest pour une bonne affaire de la semaine et un développement de Cho (je dirais… il était temps).