191 pages du dossier fait sur le regretté patron de la marque à la pomme. Les services secrets s'étaient particulièrement intéressés à lui lorsqu'il était pressenti pour un rôle dans le gouvernement de Bush père, et lorsqu'en 1985 il était sous la menace d'un attentat.
On apprend notamment dans le document que certaines personnes ont fait état de sa consommation de drogue dans ses jeunes années. D'autres témoins le décrivent comme quelqu'un capable de déformer la réalité pour atteindre ses objectifs, un «individu trompeur» qui n'est pas totalement franc et honnête.
Steve Jobs était cependant considéré comme loyal aussi longtemps que les gens partageaient ses vues.