Laurence Bourgeois
Température extérieure : – 8 degré. Casse-tête ? Je mets quoi comme couvre-chef pour ne pas avoir l’air de ce que je ne suis pas. Réponse perchée sur la jolie frimousse de Laurence au sommet d’un édifice parisien : un bonnet.
Oui, oui, vous allez me dire que je n’ai rien inventé. Et, vous aurez tort, désolée. Car il y a bonnet et blanc bonnet, bonnet d’âne aussi, faites gaffe et regardez. Celui-là est petit avec un beau revers qui permet de le porter à la lisière des cheveux, pour dégager le front sans que le bonnet s’enfuie en toque de grand chef. Non, il ne bouge pas, se plante avec gentillesse et douceur 100 pour 100 cashmere avec la promesse espiègle de faire de nous, un lutin (e) malicieux et sexy. Le truc en plus de Laurence, c’est la boucle savante et soyeuse qui jaillie de chaque côté, et l’auburn, ce ton capillaire que souligne le marine du bonnet. Très Saint-Laurent comme association, si vous voyez ce que je veux dire (marron/marine), et je veux vous voir toutes opiner du…( Voir définition du Robert) quand je dis des choses aussi pertinentes.