En rouge et gris:
Quand les députés UMP se mettent en "déportation" vers la
sortie....
Mais les mecs, la cloche n'a pas sonné
l'heure de la sortie!
Polémique. C’est un véritable clash qui s’est produit mardi à l’Assemblée nationale. La séance des questions au gouvernement a été interrompue peu après 15h30 par le départ des députés et des ministres de la majorité suite aux propos de Serge Letchimy, député apparenté PS de Martinique. Il a évoqué les «camps de concentration» et le «régime nazi» en référence aux propos de Claude Guéant du 4 février. Le ministre de l’Intérieur avait jugé lors d’un colloque que «toutes les civilisations ne se valent pas», déclenchant une forte polémique. " />
Polémique. C’est un véritable clash qui s’est produit mardi à l’Assemblée nationale. La séance des questions au gouvernement a été interrompue peu après 15h30 par le départ des députés et des ministres de la majorité suite aux propos de Serge Letchimy, député apparenté PS de Martinique. Il a évoqué les «camps de concentration» et le «régime nazi» en référence aux propos de Claude Guéant du 4 février. Le ministre de l’Intérieur avait jugé lors d’un colloque que «toutes les civilisations ne se valent pas», déclenchant une forte polémique. " title="La gravité du quotidien n'est pas au coeur de leurs préocupations" />
Polémique. C’est un véritable clash qui s’est produit mardi à l’Assemblée nationale. La séance des questions au gouvernement a été interrompue peu après 15h30 par le départ des députés et des ministres de la majorité suite aux propos de Serge Letchimy, député apparenté PS de Martinique. Il a évoqué les «camps de concentration» et le «régime nazi» en référence aux propos de Claude Guéant du 4 février. Le ministre de l’Intérieur avait jugé lors d’un colloque que «toutes les civilisations ne se valent pas», déclenchant une forte polémique. " border="0" />
C’est un véritable clash qui s’est produit mardi à l’Assemblée nationale. La séance des questions au gouvernement a été interrompue peu après 15h30 par le départ des députés et des
ministres de la majorité suite aux propos de Serge Letchimy, député apparenté PS de Martinique. Il a évoqué les «camps de concentration» et le «régime nazi» en référence aux propos de Claude
Guéant du 4 février. Le ministre de l’Intérieur avait jugé lors d’un colloque que «toutes les civilisations ne se valent pas», déclenchant une forte polémique.
(Thierry
Chesnot/Sipa)
Accueilli en héros.( mais on ne vous dit pas tout)
Et les Syriens de s'écrier sur le passage du diplomate russe:
Merci la Russie!
Merci la Chine!
Mais pour avoir bien tendu l'oreille,j'ai entendu aussi les palmiers chuchoter:
"foutez le camp bande de
faux-culs" ...
Accueilli en héros. Le chef de la diplomatie russe, Serguei Lavrov, arrivé mardi à Damas pour s'entretenir avec le président Bachar el-Assad, a été acclamé par des milliers de Syriens rassemblés pour «remercier» la Russie, alliée de poids du régime. «Merci, la Russie ! Merci, la Chine !» scandait la foule rassemblée dans une grande artère à Mazzé, à la périphérie de Damas. Le convoi de Sergueï Lavrov s'est frayé un passage au milieu d'une marée de drapeaux syriens et russes, et plusieurs dizaines de personnes se sont précipitées pour le saluer. " />
Accueilli en héros. Le chef de la diplomatie russe, Serguei Lavrov, arrivé mardi à Damas pour s'entretenir avec le président Bachar el-Assad, a été acclamé par des milliers de Syriens rassemblés pour «remercier» la Russie, alliée de poids du régime. «Merci, la Russie ! Merci, la Chine !» scandait la foule rassemblée dans une grande artère à Mazzé, à la périphérie de Damas. Le convoi de Sergueï Lavrov s'est frayé un passage au milieu d'une marée de drapeaux syriens et russes, et plusieurs dizaines de personnes se sont précipitées pour le saluer. " title="La gravité du quotidien n'est pas au coeur de leurs préocupations" />
Accueilli en héros. Le chef de la diplomatie russe, Serguei Lavrov, arrivé mardi à Damas pour s'entretenir avec le président Bachar el-Assad, a été acclamé par des milliers de Syriens rassemblés pour «remercier» la Russie, alliée de poids du régime. «Merci, la Russie ! Merci, la Chine !» scandait la foule rassemblée dans une grande artère à Mazzé, à la périphérie de Damas. Le convoi de Sergueï Lavrov s'est frayé un passage au milieu d'une marée de drapeaux syriens et russes, et plusieurs dizaines de personnes se sont précipitées pour le saluer. " border="0" />
Le chef de la diplomatie russe, Serguei Lavrov, arrivé mardi à Damas pour s'entretenir avec le président Bachar el-Assad, a été acclamé par des milliers de Syriens rassemblés pour
«remercier» la Russie, alliée de poids du régime. «Merci, la Russie ! Merci, la Chine !» scandait la foule rassemblée dans une grande artère à Mazzé, à la périphérie de Damas. Le convoi de
Sergueï Lavrov s'est frayé un passage au milieu d'une marée de drapeaux syriens et russes, et plusieurs dizaines de personnes se sont précipitées pour le saluer.
(LOUAI
BESHARA/AFP)
Pendant que d'autres balancent des pruneaux explosifs sur le peuple
Moi je tire des marshmallows dans le bureau ovale....
Ha! c'était ça que voulait dire Claude Guéant en parlant des civilisations qui n'avaient pas les
mêmes valeurs!
«Extreme Marshmallow Cannon». Le jeune Joey Hudy, 14 ans, se souviendra longtemps de ce mardi à la Maison-Blanche. Car Barack Obama, venu défendre l'enseignement des sciences et saluer l'ingéniosité américaine, a reçu de jeunes inventeurs, dont celui d'un canon à marshmallows que le président a actionner avec délectation. Face au canon à guimauves présenté par le jeune adolescent, Barack Obama a glissé, à propos des policiers d'élite qui le protègent: «le Secret Service va être très fâché contre moi», avant d'actionner la pompe de l'arme et de tirer un projectile à travers la vénérable salle à manger historique de la Maison-Blanche. " />
«Extreme Marshmallow Cannon». Le jeune Joey Hudy, 14 ans, se souviendra longtemps de ce mardi à la Maison-Blanche. Car Barack Obama, venu défendre l'enseignement des sciences et saluer l'ingéniosité américaine, a reçu de jeunes inventeurs, dont celui d'un canon à marshmallows que le président a actionner avec délectation. Face au canon à guimauves présenté par le jeune adolescent, Barack Obama a glissé, à propos des policiers d'élite qui le protègent: «le Secret Service va être très fâché contre moi», avant d'actionner la pompe de l'arme et de tirer un projectile à travers la vénérable salle à manger historique de la Maison-Blanche. " title="La gravité du quotidien n'est pas au coeur de leurs préocupations" /> «Extreme Marshmallow Cannon». Le jeune Joey Hudy, 14 ans, se souviendra longtemps de ce mardi à la Maison-Blanche. Car Barack Obama, venu défendre l'enseignement des sciences et saluer l'ingéniosité américaine, a reçu de jeunes inventeurs, dont celui d'un canon à marshmallows que le président a actionner avec délectation. Face au canon à guimauves présenté par le jeune adolescent, Barack Obama a glissé, à propos des policiers d'élite qui le protègent: «le Secret Service va être très fâché contre moi», avant d'actionner la pompe de l'arme et de tirer un projectile à travers la vénérable salle à manger historique de la Maison-Blanche. " border="0" />
«Extreme Marshmallow Cannon». Le jeune Joey Hudy, 14 ans, se souviendra longtemps de ce mardi à la Maison-Blanche. Car Barack Obama, venu défendre l'enseignement des sciences et saluer
l'ingéniosité américaine, a reçu de jeunes inventeurs, dont celui d'un canon à marshmallows que le président a actionner avec délectation. Face au canon à guimauves présenté par le jeune
adolescent, Barack Obama a glissé, à propos des policiers d'élite qui le protègent: «le Secret Service va être très fâché contre moi», avant d'actionner la pompe de l'arme et de tirer un
projectile à travers la vénérable salle à manger historique de la Maison-Blanche. (Kevin Lamarque / Reuters)