Nous avions évoqué, brièvement en début de semaine puis de manière plus complète deux jours plus tard, la procédure de licenciement dont Eric Deup avait fait l’objet. Contacté, l’ex-chroniqueur de Fluide Glacial a accepté de préciser les approximations que nous avons commises dans un message dont nous reproduisons l’essentiel ici :
Rassurez-vous il ne s’agira ici ni d’une mise au point, ni d’un démenti, ne rajoutons pas du dramatique au pathétique*. Pas de vannes non plus, en attendant de trouver quelqu’un qui me paie pour en faire je m’économise, et est-ce nécessaire de tenter de rendre drôle ce qui est déjà grotesque ?
Simplement deux précisions, histoire de rendre à César ce que Brutus ne saurait s’accaparer : vous semblez regretter le silence de vos confrères à propos des mésaventures qui me préoccupent un tantinet ces derniers jours, mais rendons justice à l’excellent (et pas que pour cette raison) laccoudoir.com qui s’en faisait l’écho dès le 3 février.
Par ailleurs l’entretien préalable à licenciement auquel j’ai pu me rendre (car en ayant reçu la convocation) ne s’est pas tenu en la présence de Christophe Goffette. Si c’est bien lui qui en aurait fait la demande selon ses dires, les seuls présents étaient, outre ma pomme, Michel Gaudelette qui m’assistait et Louis Delas qui me convoquait, et m’a depuis signifié mon licenciement.
Voilà. Bien fluidialement ** à vous,
Éric DEUP
* : je parle bien entendu de la situation qui a généré votre article, pas d’autre chose.
** : j’utilise encore un moment à dessein cette formule de papolitesse : bien qu’ayant été dispensé d’effectuer ma période de préavis, je suppose que le fait de ne pas avoir reçu mon indemnité de licenciement m’autorise à me prévaloir de Fluide ? Faudra que je demande à mon aréopage.