Eh oui, demain on vote pour élire notre Maire.
Si l’on en croit les sondages, les choses sont pliées et nous nous retrouverons bientôt vingt ans en arrière, avec le retour des cumulards, des combines, du béton et de la spéculation immobilière, avec le soutien, depuis le début, du dissident du PS niçois.
J. Peyrat n’a aucune chance dans cette configuration et celui qui avait déjà trahi J. Médecin vient de lui re-jouer le même tour.
Une chose est certaine, c’est que les résultats du premier tour détermineront mécaniquement ceux du second. Plus de 15 poins d’écart entre la liste de gauche et celle du sous-ministre et l’élection est pliée, le retard sera trop important pour espérer gagner, dans une situation qui ne se reproduira pas de sitôt. C’est dire la responsabilité des diviseurs.
Espérons simplement que les indécis, ceux qui se sont laissé séduire par les proclamations des “non-professionnels” de la politique (et qui vivent pourtant avec, pour certain au moins depuis de très nombreuses années après une belle carrière d’apparatchik), se rendront compte des enjeux et, s’ils ne veulent pas du motodidacte pour Maire, sauront réfléchir avant de voter.
Et un “Merde” retentissant pour l’ami Yann dans le 2ème canton niçois.