Face aux graves problèmes économiques auxquels est confrontée la Bolivie, Evo Morales, son Président, a semble-t-il trouvé la solution : faire payer les compagnies pétrolières.
Pas totalement étonnant de la part de celui qui est arrivé au pouvoir en Bolivie en pleine guerre du gaz.
Le gouvernement socialiste bolivien a menacé lundi les sociétés pétrolières de mesures “très dures” si elles n’investissaient pas davatange.
Le vice-président bolivien, Alvaro Garcia Linera les a ainsi averti : “nous sommes confiants qu’elles feront (ses investissements) mais si elles ne le font pas, nous serons durs, très durs”.