- Créer un sentiment d’urgence. Pour mettre les personnes concernées en marche, il faut qu’elles soient convaincues de l’importance des mesures proposées, en quelque sorte qu’il s’agit d’une question de « survie »
- Créer une coalition. L’union faisant la force, il faut commencer par convaincre des responsables clés : leaders, mais aussi organisateurs qui consolideront les premiers succès en des processus durables.
- Définir une « vision ». Il s’agit de définir l’objectif poursuivi sous la forme d’un message court et marquant, facilement appréhendé.
- Communiquer. Le message doit être répété inlassablement (mais adroitement) et être illustré par le comportement des dirigeants.
- Donner aux employés les moyens de faire bouger les choses. Cela afin qu’ils éliminent les obstacles qui pourraient faire qu’ils se découragent et attribuent leur échec aux nouvelles idées.
- Gagner des petites victoires rapides. Elles donnent envie de croire au changement.
- Consolider les gains. Le processus doit se traduire dans un changement des attitudes, or il est coutumier qu’une fois les premiers succès passés, les équipes reviennent à leurs anciens usages.
- Ancrer le changement dans la culture de la société. Il doit s’appuyer sur des caractéristiques clés de cette culture (qu’il réoriente), à terme il doit « entrer dans les réflexes ».
Magazine Société
Je parle souvent de P.Kotter et de ce qu’il appelle leadership, mais ce blog n’a jamais dit grand-chose de ses travaux, voici les 8 étapes du changement, selon lui et ma version de Leading change, qui est fort ancienne :