Economie, quand tu nous tient.

Nous sommes restés muets, depuis quelques semaines, au sujet de l’économie. Et pour cause celle-ci dés le mois de Janvier 2012 volait dans tous les sens. Il n’y a qu’à constater le véritable feuilleton avec notre triple A. La plupart des non initiés finissaient par s’y perdre à force de rebondissements.
Mais ces jours-ci le calme ou rien de terriblement passionnant.
On entend plutôt parler dans les médias du retour de l’hiver et du froid polaire qui a envahit non seulement notre pays mais l’Europe également.
Et pourtant !
Ce dernier vendredi, le premier ministre grec déclarait, nous ne faisons que le citer :
« nous sommes dans la phase finale d’une procédure très cruciale du nouveau programme économique de la Grèce et de la finalisation de l’accord qui va alléger la dette publique et assurera le financement du pays pour les prochaines années ».
Attendons de voir.
Pour la Grèce, le calme est toujours de courte durée.
Cependant nous sommes beaucoup à penser, que dans l’intérêt même des grecs et de la zone euro, ce pays devrait sortir au plus tôt de ladite zone.
Mais attention le pire n’est peut-être pas encore arrivé avec le Portugal qui de jour en jour s’enfonce encore plus dans la crise avec une insolvabilité latente.
Sans parler de l’Italie ou, encore pire, de l’Espagne.
Dans un autre registre, Jack Kennedy, économiste de Markit annonçait :
« bien que les dernières données PMI mettent en évidence une consolidation de la croissance dans le secteur privé français en ce début d’année 2012, les signes de faiblesse sous-jacente de la conjoncture demeurent ».
Doit-on prendre cela comme un signe positif alors que l’inflation ferait son grand retour. Nous vous laissons juges.
Il est peut-être intéressant de regarder du coté des Etats-Unis où les chiffres de l’emploi seraient en hausse par rapport aux prévisions des analystes. 243 000 emplois créés sur le seul mois de Janvier avec un résultat à la baisse du nombre de chômeurs.
L’économie américaine reprendrait-elle ?
Ce serait une excellente nouvelle si le déficit américain ne dépassait pas les quelques 1 000 milliards de dollards. Une bagatelle !
Nous espérons que ce billet vous servira de réflexion ne serait-ce que pour animer certains de vos repas entre amis ou familiaux.
A condition d’avoir de l’intérêt pour l’économie, bien sur !