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Maximes

Publié le 08 février 2012 par Egea

J'attire l'attention du lecteur sur le fait que certaines des paroles qui vont suivre sont grossières. Très grossières. Mais bon, quand un entraîneur de rugby parle, le feu de l'action, tout ça tout ça... faut admettre certaines incartades au bon goût langagier. Et encore, je n'ai pas mis les pires. Mais c'est à hurler de rire. Si vous êtes au bureau, attendez ce soir pour consulter le billet, ça évitera de vous faire mal voir par vos collègues quand ils vous verrons vous bidonner.

Maximes
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« Entre les manchots d'en face et vous qui ressemblez à des culs de jattes, y'a plus que Lourdes pour nous sauver ! »

« Ceux d'en face c'est des idiots. Dans leur vallée ils se reproduisent entre eux depuis des générations, d'ailleurs leur pilier droit il a une oreille au milieu du cul »

« Aujourd’hui on va jouer simple : les avants devant, les arrières derrière ! »

« Sur la première mêlée, je veux que ton pilier en face il entende les grillons »

« Les gars, il va falloir s'y mettre. Sortir les mains des poches parce que si vos couilles explosent, y'en a un paquet qui vont devenir manchots »

« On est au pied du mur, maintenant les gars, il faut le construire ! »

« D'accord on mène, mais il faut garder les pieds sur la tête »

« Y a plus de trois quarts que d'avants dans les regroupements. C'est plus du rugby, c'est le Bolchoï en plein air !!! »

« Bon, les gars, on n'oublie pas la règle des trois P : POUSSER, PLAQUER, COURIR ! »

« Les gars, attention à celui-là, il réfléchit avec les bras ! »

« Putains les mecs, si j'ai des demis, c'est pas pour que les trois-quarts fassent les choses à moitié ! »

« Les gars aujourd’hui je veux que des jobards, des tarés, des dingos… Mais surtout les gars, surtout on reste lucides !!! »

Cette dernière est ipso facto devenue la devise des géopolitologues !

O. Kempf


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