Quelles sont les vraies questions à se poser sur le réchauffement, et les réponses que l’on peut apporter à ce jour ?
Par le Minarchiste, de Montréal, Québec.
Je n’ai jamais véritablement remis en question l’affirmation voulant que le climat terrestre se réchauffe. Comme je le mentionnais dans un billet antérieur, ce qui m’importe est que nous répondions à six questions importantes:
1) Est-ce que la terre se réchauffe à un rythme alarmant et exponentiel ?
2) Quel est vraiment l’impact de l’humain (et de son CO2) sur ce réchauffement ?
3) Quelles sont les conséquences de ce réchauffement ?
4) Est-ce que ça vaut vraiment le coup (et les coûts) de faire quelque chose pour ralentir ce réchauffement ou devrions-nous simplement nous y adapter ?
5) Est-ce que les moyens présentement proposés par les gouvernements pour mitiger le réchauffement climatique sont les bons ?
6) Est-ce que le réchauffement climatique est présentement le problème le plus important auquel l’humanité fait face?
Comme je le mentionnais, ces questions cruciales ne sont jamais débattues.
Mais voilà que le Met Office et l’Unité de Recherche Climatique de l’Université East Anglia (encore eux!) viennent de publier de nouvelles données provenant de 30,000 stations météorologiques montrant que le réchauffement s’est arrêté en 1997 (voir ceci).
En prime, selon Henrik Svensmark, directeur du Centre sur la Recherche Soleil-Climat de l’Institut Spatial du Danemark et la professeure Judith Curry du Georgia Institute of Technology, l’activité solaire aurait beaucoup plus d’impact sur notre climat que le GIEC ne l’a estimé. Mme Curry mentionne aussi les cycles de températues des océans de 60 ans. Selon eux, les modèles du GIEC ont surestimé l’impact du CO2.
Sans compter l’impact des rayons cosmiques, présentement étudiés par le programme CLOUD du CERN, qui pourrait démontrer leur impact sur la formation des nuages et donc sur le climat en fonction de la variation du champs magnétique de la terre. À cet égard, je vous invite à vous renseigner sur les travaux de Vincent Courtillot (ici et ici). Ces recherches ont même fait leur chemin jusqu’à l’émission Découverte de Radio-Canada.
Combien de temps faudra-t-il encore avant que la population soit mise au courant de ces sérieuses failles dans la thèse réchauffiste? Pendant ce temps, les Ontariens paient environ 10 fois plus cher pour leur électricité produite à par des panneaux solaires en vertu de leur programme FIT…
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Sur le web
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Echec du sommet climatique de Durban : interview exclusive du chimiste István Markó