Le sujet envahit les tabloïds ou autres publications ainsi que le web et certaines presses se donnent bien du mal pour soutenir la thèse que « l’on ne peut rien contre la toxicomanie », à grand renfort de conditionnel (conjugaison du doute) : la prise de drogues « serait due à un problème cérébral qui touche toute la famille »… En bref « c’est pas ma faute, je suis comme ça ! »
C’est la « science » qui le dit ! Bizarre alors que, dans une famille de « drogués potentiels », certains se droguent et d’autres pas… tout en ayant la même « anomalie »…
« Ces pseudos recherches sont de la désinformation pure et simple » affirme M. Galibert, président de l’association Non à la drogue, Oui à la vie. « La toxicomanie n’est pas une maladie. Faisons une comparaison : On peut choisir de se droguer ou de ne pas se droguer, n’est-ce pas ? Par contre, essayez-donc de décider que demain vous serez diabétique ou, si vous l’êtes, essayez de décider que demain vous ne le serez plus !!! De nombreux toxicomanes ont arrêté les drogues sans changer de cerveau, simplement parce qu’ils l’ont décidé ! »
Il est grand temps de se rendre compte que ces « découvertes sensationnelles » n’ont pas été faites dans le domaine d’une science exacte mais c’est dans un département de psychiatrie et de psychologie expérimentale que cela a été subodoré.
Vu l’augmentation des problèmes de drogue de part le monde, nous ferions bien de faire attention car nous risquons d’assister, à cause de ces « pseudo-chercheurs » au sein d’une « pseudo-science » qu’est la psychiatrie, à la naissance d’un nouveau virus malin, le HIV…D, ou « Human Intelligence Virus Deficiency » qui s’attaque au bon sens et à la logique et pousse à consommer des psychotropes que vous ne connaissiez pas et dont vous ne saviez pas que vous en aviez besoin pour vivre !
Mais, bien sûr, « vous n’y pouvez rien, c’est une maladie, c’est génétique, c’était programmé »… jusqu’à ce qu’on trouve le « vaccin », ou la « drogue de substitution » qui vous fera tenir tranquille.
Les labos pharmaceutiques qui récupèreront cette manne financière ont encore de beaux jours devant eux, parjurant ainsi le serment d’Hippocrate qui dit « Je ne remettrai à personne du poison, si on m’en demande, ni ne prendrai l’initiative d’une pareille suggestion. »
« La toxicomanie est un problème qui est basé sur l’IGNORANCE ! On peut le résoudre par une information vraie et l’éducation » reprend calmement M. Galibert. « C’est ce que font les bénévoles de notre association sur le terrain depuis plus de 20 ans en distribuant des livrets d’information et en dialoguant avec le public. Seule, la compréhension permet aux gens de décider par eux-mêmes de ne pas prendre de drogue ou de décider de s’en sortir. »
L’association « non à la drogue, Oui à la vie » met à la disposition du public des brochures gratuites sur les dangers des drogues les plus courantes : Alcool, Cannabis, héroïne, Cocaïne, Crack, Ecstasy, Cristal Meth, LSD, antidouleurs, Ritaline, drogues par inhalation, médicaments psychotropes ; un DVD contenant une série de 16 spots vidéo de 30 secondes intitulés « ils ont dit, ils ont menti » et un documentaire de plus de 200 témoignages vidéo basés sur des expériences authentiques.
Des conférences d’information gratuites sont dispensées pour tous les groupes qui le désirent.
Pour obtenir davantage d’information sur les actions de l’association ou pour télécharger ou obtenir gratuitement ses publications, visitez le site internet : www.nonaladrogue.org
Contact presse : Robert Galibert au 06 20 51 17 57 [email protected] ou http://cestquoiladrogue.fr