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Il n'y a pas que le froid qui glace le dos...

Publié le 07 février 2012 par Marigotine

 

                                                     Le Lac Vostok

Un trésor pour les chercheurs qui vont nous révéler le processus des différents changements climatiques

  

Il n'y a pas que le froid qui glace le dos...

Une équipe de chercheurs russes est parvenue à atteindre, dimanche, le mystérieux Lac Vostok  enfoui sous une calotte glacière de près de quatre kilomètres d'épaisseur à l'intérieur du continent antarctique.L'achèvement de ces travaux de forage, entamés en 1989, va permettre de réaliser «une étude scientifique fondamentale» sur les changements climatiques Ce lieu est vraissemblablement hostile àla vie puisque contenant 20 à 30% plus d'oxygène que la normale.En revanche, ils ont découvert en 2004 des traces d'ADN dans ces glaces révélant  la présence de bactéries thermophiles (littéralement, qui aiment la chaleur, ndlr). Un vrai paradoxe! L'hypothèse la plus probable est que ces êtres vivants proviennent du sous-sol et se sont retrouvés dans les eaux du lac après une fracture sismique.

T'as vu au-dessus Angela, depuis 1989 ils sondent la calotte glacière....

On pourrait peut-être leur envoyer François il est fort dans les sondages! 

T'inquiètes mon petit chéri, tiens moi la main, et souris !

Au fait ça va être quoi ton slogan de campagne:

     " Français, ne pédalons plus dans la choucroute"

<b></div>Main dans la main.</b> La chancelière Angela Merkel a apporté lundi un soutien politique de poids au futur candidat à la présidentielle Nicolas Sarkozy, lors d'un conseil des ministres franco-allemand où les deux dirigeants ont pressé la Grèce de boucler les tractations sur sa survie financière. Dès l'issue de l'entretien qui ouvre rituellement la réunion annuelle des deux gouvernements, Mme Merkel a donné, devant la presse, le petit coup de pouce électoral attendu par le chef de l'Etat, donné largement perdant de la course à l'Elysée à moins de 80 jours du premier tour. «Je soutiens Nicolas Sarkozy sur tous les plans, car nous appartenons à des partis amis», a lancé Mme Merkel en rappelant que le président français était venu lui prêter main forte en participant en 2009 à un de ses meetings à Berlin, quelques mois avant sa reconduction à la tête du gouvernement allemand. Photo : Sipa PressMain dans la main. La chancelière Angela Merkel a apporté lundi un soutien politique de poids au futur candidat à la présidentielle Nicolas Sarkozy, lors d'un conseil des ministres franco-allemand où les deux dirigeants ont pressé la Grèce de boucler les tractations sur sa survie financière. Dès l'issue de l'entretien qui ouvre rituellement la réunion annuelle des deux gouvernements, Mme Merkel a donné, devant la presse, le petit coup de pouce électoral attendu par le chef de l'Etat, donné largement perdant de la course à l'Elysée à moins de 80 jours du premier tour. «Je soutiens Nicolas Sarkozy sur tous les plans, car nous appartenons à des partis amis», a lancé Mme Merkel en rappelant que le président français était venu lui prêter main forte en participant en 2009 à un de ses meetings à Berlin, quelques mois avant sa reconduction à la tête du gouvernement allemand. Photo : Sipa Press" title="Il n'y a pas que le froid qui glace le dos..." />Main dans la main. La chancelière Angela Merkel a apporté lundi un soutien politique de poids au futur candidat à la présidentielle Nicolas Sarkozy, lors d'un conseil des ministres franco-allemand où les deux dirigeants ont pressé la Grèce de boucler les tractations sur sa survie financière. Dès l'issue de l'entretien qui ouvre rituellement la réunion annuelle des deux gouvernements, Mme Merkel a donné, devant la presse, le petit coup de pouce électoral attendu par le chef de l'Etat, donné largement perdant de la course à l'Elysée à moins de 80 jours du premier tour. «Je soutiens Nicolas Sarkozy sur tous les plans, car nous appartenons à des partis amis», a lancé Mme Merkel en rappelant que le président français était venu lui prêter main forte en participant en 2009 à un de ses meetings à Berlin, quelques mois avant sa reconduction à la tête du gouvernement allemand. Photo : Sipa Press" border="0" /> La chancelière Angela Merkel a apporté lundi un soutien politique de poids au futur candidat à la présidentielle Nicolas Sarkozy. «Je soutiens Nicolas Sarkozy sur tous les plans, car nous appartenons à des partis amis», a lancé Mme Merkel en rappelant que le président français était venu lui prêter main forte en participant en 2009 à un de ses meetings à Berlin, quelques mois avant sa reconduction à la tête du gouvernement allemand. Photo : Sipa Press

  

J'exige d'être libéré immédiatement!

Franchement, il n'y a pas que les températures qui nous glacent le dos!

Qu'il soit Norvégien ou d'ailleurs, ce salut extrémiste est pétrifiant d'angoisse....

Surtout réfléchissons bien avant, car après il sera trop tard!

<b></div>Libération immédiate.</b> C’est ce qu’a exigé Anders Behring Breivik. En costume noir et cravate bleu clair, l'auteur des attaques qui ont fait 77 morts le 22 juillet en Norvège, est entré dans la salle du tribunal mains menottées, poings fermés, mais néanmoins capable de faire ''un salut à l'extrême droite'', selon son avocat. L'extrémiste de 32 ans a expliqué que son carnage était ''une attaque préventive contre des traîtres à la patrie'' commise pour ''défendre la population ethnique norvégienne''. ''Je n'accepte pas l'emprisonnement. J'exige d’être libéré immédiatement''. La Cour a ordonné son maintien en détention provisoire alors que son procès doit s’ouvrir le 16 avril. SCANPIX NORWAY/Reuters.Libération immédiate. C’est ce qu’a exigé Anders Behring Breivik. En costume noir et cravate bleu clair, l'auteur des attaques qui ont fait 77 morts le 22 juillet en Norvège, est entré dans la salle du tribunal mains menottées, poings fermés, mais néanmoins capable de faire ''un salut à l'extrême droite'', selon son avocat. L'extrémiste de 32 ans a expliqué que son carnage était ''une attaque préventive contre des traîtres à la patrie'' commise pour ''défendre la population ethnique norvégienne''. ''Je n'accepte pas l'emprisonnement. J'exige d’être libéré immédiatement''. La Cour a ordonné son maintien en détention provisoire alors que son procès doit s’ouvrir le 16 avril. SCANPIX NORWAY/Reuters." title="Il n'y a pas que le froid qui glace le dos..." />Libération immédiate. C’est ce qu’a exigé Anders Behring Breivik. En costume noir et cravate bleu clair, l'auteur des attaques qui ont fait 77 morts le 22 juillet en Norvège, est entré dans la salle du tribunal mains menottées, poings fermés, mais néanmoins capable de faire ''un salut à l'extrême droite'', selon son avocat. L'extrémiste de 32 ans a expliqué que son carnage était ''une attaque préventive contre des traîtres à la patrie'' commise pour ''défendre la population ethnique norvégienne''. ''Je n'accepte pas l'emprisonnement. J'exige d’être libéré immédiatement''. La Cour a ordonné son maintien en détention provisoire alors que son procès doit s’ouvrir le 16 avril. SCANPIX NORWAY/Reuters." border="0" />  C’est ce qu’a exigé Anders Behring Breivik. En costume noir et cravate bleu clair, l'auteur des attaques qui ont fait 77 morts le 22 juillet en Norvège, est entré dans la salle du tribunal mains menottées, poings fermés, mais néanmoins capable de faire "un salut à l'extrême droite", selon son avocat. L'extrémiste de 32 ans a expliqué que son carnage était "une attaque préventive contre des traîtres à la patrie" commise pour "défendre la population ethnique norvégienne". "Je n'accepte pas l'emprisonnement. J'exige d’être libéré immédiatement". La Cour a ordonné son maintien en détention provisoire alors que son procès doit s’ouvrir le 16 avril. SCANPIX NORWAY/Reuters.


Beau, irréel, mais tellement mortel

<b></div>Mortel hiver.</b> Si, comme ici, à Genève, en Suisse, le froid et la neige ont fait des heureux, l’est de l’Europe fait face à une situation très préoccupante. Depuis le début de la vague de froid il y a une dizaine de jours, le nombre des décès par hypothermie en Pologne s'élève désormais à 62, avec neuf morts de plus en 24 heures. Les températures les plus basses, jusqu'à -24 degrés centigrades, ont été enregistrées dans la nuit de dimanche à lundi dans le nord-est du pays. Au total, depuis le début de novembre, 107 personnes ont péri par hypothermie. En Lituanie voisine, douze personnes sont mortes de froid pendant le week-end, portant le bilan des décès à 23. En République tchèque, au moins quatre personnes sont mortes ces jours derniers en Moravie, dans l'est, et deux autres à Prague. Photo : Reuters.Mortel hiver. Si, comme ici, à Genève, en Suisse, le froid et la neige ont fait des heureux, l’est de l’Europe fait face à une situation très préoccupante. Depuis le début de la vague de froid il y a une dizaine de jours, le nombre des décès par hypothermie en Pologne s'élève désormais à 62, avec neuf morts de plus en 24 heures. Les températures les plus basses, jusqu'à -24 degrés centigrades, ont été enregistrées dans la nuit de dimanche à lundi dans le nord-est du pays. Au total, depuis le début de novembre, 107 personnes ont péri par hypothermie. En Lituanie voisine, douze personnes sont mortes de froid pendant le week-end, portant le bilan des décès à 23. En République tchèque, au moins quatre personnes sont mortes ces jours derniers en Moravie, dans l'est, et deux autres à Prague. Photo : Reuters." title="Il n'y a pas que le froid qui glace le dos..." />Mortel hiver. Si, comme ici, à Genève, en Suisse, le froid et la neige ont fait des heureux, l’est de l’Europe fait face à une situation très préoccupante. Depuis le début de la vague de froid il y a une dizaine de jours, le nombre des décès par hypothermie en Pologne s'élève désormais à 62, avec neuf morts de plus en 24 heures. Les températures les plus basses, jusqu'à -24 degrés centigrades, ont été enregistrées dans la nuit de dimanche à lundi dans le nord-est du pays. Au total, depuis le début de novembre, 107 personnes ont péri par hypothermie. En Lituanie voisine, douze personnes sont mortes de froid pendant le week-end, portant le bilan des décès à 23. En République tchèque, au moins quatre personnes sont mortes ces jours derniers en Moravie, dans l'est, et deux autres à Prague. Photo : Reuters." border="0" /> Si, comme ici, à Genève, en Suisse, le froid et la neige ont fait des heureux, l’est de l’Europe fait face à une situation très préoccupante. Depuis le début de la vague de froid il y a une dizaine de jours, le nombre des décès par hypothermie en Pologne s'élève désormais à 62, avec neuf morts de plus en 24 heures. Les températures les plus basses, jusqu'à -24 degrés centigrades, ont été enregistrées dans la nuit de dimanche à lundi dans le nord-est du pays. Au total, depuis le début de novembre, 107 personnes ont péri par hypothermie. En Lituanie voisine, douze personnes sont mortes de froid pendant le week-end, portant le bilan des décès à 23. En République tchèque, au moins quatre personnes sont mortes ces jours derniers en Moravie, dans l'est, et deux autres à Prague. Photo : Reuters.


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