Dans la première note de la chronique, qui a valu plusieurs centaines de commentaires dont certains très éclairés, tant de la part de sympathisants que d'adversaires de l'association, je m'interrogeai sur ce qui justifiait la haine toute particulière que suscitait les membres de l'Arche de Zoé.
Mon propos n'était pas de juger si les membres de l'arche étaient coupables ou pas, reconnaissant simplement qu'à mon sens, le fond de leur pensée, comme celle des familles d'accueil, était sans aucun doute…