Tera Online, pour ceux qui vivraient encore dans une grotte, c’est le jeu annoncé comme étant un mmo « Next Gen », comme c’est la mode depuis Aion, je vous laisserais googler tout ça pour vous faire une idée. Et quand vous aurez visionné deux trois vidéos sur Youtube vous comprendrez pourquoi je voulais tant y jouer ce week-end, j’aurais été prêt à vendre mon corps pour une clef, mais ce n’est finalement, qu’un détail.
Le fait est que le samedi 4 février, 15 heures (heure du lancement de la « bêta »), j’étais devant le launcher du jeu tel un gosse devant le vendeur de glaces, tirant les jupons de sa daronne pour avoir trois boules à la vanille. Mais non, grâce au professionnalisme de Frogster (exploitant européen du jeu, qui était jusque-là plutôt spécialisé dans les F2P), suite à une erreur de BDD et pleins d’autres problèmes techniques que les gens du peuple ne peuvent pas comprendre, je n’ai pas eu ma dose d’MMORPG ce week-end.
Bref, tel que vous me lisez, je suis tristesse, larmes et déception, un peu comme le gosse cité plus haut à qui l’on a finalement refusé ses trois boules. Mais je vais quand même finir cette news en vous parlant de Maestia, voici donc les améliorations du jeu actuellement disponible depuis leur dernière extension (Rise of Kedelus donc) :
Deux factions : Les gentils et les méchants.
- Quatre classes de personnages : Guerrier, Mage, Rôdeur et Clerc
- Plus de 1000 quêtes intégrées dans une histoire mystérieusement mystérieuse
- Un contenu PvE et PvP riche, avec bataille de groupe, de guilde et de faction
- Une évolution de personnage unique avec une possibilité infinie de combinaisons.
- Un système de compétences hybride via les Maestones
Même si moi, je voulais Tera.
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