Désormais, le directeur artistique du festival noie le poisson, évoquant un « désir d'aller plus loin et de dépasser la simple approche événementielle ». Une réflexion "va se mettre en place avec la Maison de la poésie en partenaire". Ne soyez pas pressés ...
En juillet 2011, nous apprend le site Actualitté, l'idée d'un arrêt définitif de la manifestation avait été évoqué comme une piste d'économie pour la ville de Paris. Christophe Girard avait nié et démenti, assurant qu'une note interne qui l'évoquait n'avait aucune valeur. «Ce sont les élus et le maire qui décident, et je peux déjà vous dire une chose : on ne reprendra aucune de ces propositions ! Pour Paris en toutes lettres, pas question de l'arrêter, mais peut-être faudra-t-il revoir la formule. »
Allez donc croire Girard !
Courant après les crédits pour tenter de remédier à la situation créée par ses innombrables gaspillages, la cigale delaoesque rabiote tout. On parle même d'employés de Morland obligés de ruser et de faire du chemin pour se procurer le papier pour écrire : voir LA. Décidément, le livre et l'écrit ne sont pas en odeur de sainteté à l'Hôtel-de-Ville !
Enfin ... à défaut de lecture les Parisiens pourront se distraire en faisant du sport. Comment ? Les piscines parisiennes n'arrêtent pas de fermer ?! Pas assez d'argent pour les entretenir ? Bah, dans ce cas, il suffira d'attendre l'inauguration du stade perpétuellement vide Jean Bouin ...