Dans une interview-bateau destinée avant tout à ne pas trop mal figurer dans le peloton de queue aux élections du mois de mars, Jacqueline de Q. donne son sentiment sur la criminalité en Pays de Vaud.
A part quelques platitudes habituelles et autres sérénades connues, elle nous livre sa propre expérience proprement fascinante:
Ca montre le degré du danger qu’elle craint … et la profondeur de sa réflexion.
Comme d’habitude aussi, elle nous bassine avec ses 300 policiers supplémentaires nécessaires dans le canton.
Et si avant ça elle faisait travailler normalement ceux qui sont là et glandent actuellement à journées faites ?
Il est vrai qu’on ne peut pas exiger grand chose de cette population de fonctionnaires dont le QI frise celui de l’amibe.
Mais peut-être faut-il changer justement le QI minimum nécessaire pour être enrôlé dans la merveilleuse police vaudoise coordonnée et multi-cartes. Et changer de cheffe dans la foulée, et de politique simultanément ?