Un de mes livres parle des fées et des farfadets mais non, même en les ayant dévoré des yeux à chaque lecture, mon imaginaire est autre. J'ai dans la tête tous ses enfants qui se tiennent par la main, courent, rient, jouent. La nature est proche et tout est prétexte aux espiègleries. Les illustrations montrent toute cette spontanéité et marquent vraiment l'univers de l'enfant, ses jeux, ses rires. Il y a des taches, des chutes, des cris... il y a aussi, paradoxalement, aucun adulte avec eux. Ils sont seuls, libres, entièrement dans leur monde, merveilleux mais aussi tout à fait réel. Ils ont besoin de peu, ce n'est pas une multitude de jouets qui leur apportent le bonheur. Et même l'amas de jouet a quelque chose de simple:
Les enfants sont aussi de toutes nationalités. C'est une chose qui m'avait touchée et, petite, j'étais pour la discrimination positive en amitié... une naïveté bien-sûr mais aussi une certaine "influence" positive.
Je vous en parlais un petit ici, comme un reste, une image avec l'oralité de la lecture. Et ici vous trouverez quelques illustrations en rapport avec les livres dont je vous reparlerais.