Vendredi 3 février matin, suit à l'alerte faite auprès de la Mairie que le toit et la verrière étaient démolis côté rue des Maraîchers avant même la fin de l'installation du chantier et des palissades de sécurité, les ouvriers interviennent le matin pour retirer les gravats restés sur le toit qui risquaient de tomber sur les passants, juste au moment où les enfants se rendent en classe. Ils ont neutralisé la partie du trottoir obligeant ainsi les enfants à marcher sur la chaussée, puis sont repartis barrière sous les bras.
Pourquoi n'ont-ils pas attendu que le enfants soient entrés en classe pour réaliser cette opération ?
Dans l'après-midi à l'heure de la récréation, d'énormes nuages de poussière et d'amiante (?) s'échappant de la partie de la verrière démolie en début de semaine. Ce n'est pas Fukushima, ni Tchernobyl, mais déjà beaucoup trop dangereux pour les enfants et encore plus pour les tous petits de la maternelle.
Personne ne s'en est rendu compte, l'enceinte du dépôt de bus protégeant des regards indiscrets une gestion de chantier qui est loin d'être HQE, haute qualité environnementale, à faible impact environnement contrairement au discours d'ICADE pendant les réunions de travail et publiques.
16h30, sortie des écoles :
- qu'as-tu fais à l'école aujourd'hui ?
- j'ai joué à chat dans la cour,
...... sous un nuage de poussières de chantier, pas vu, pas pris.