Film d’Abel Ferrara, 1998.
Ce film n’était pas mon favori, mais le froid et l’heure de son passage me l'ont fait choisir. Surprise, Abel Ferrara était aussi là. Qui eut dit que les réalisateurs américains avaient une existence terrestre ?
Apparemment, il connaît une mauvaise passe. Et même le purgatoire des réalisateurs mythiques : un passage en France, et le soutien de notre communauté intellectuelle.
Il nous a dit qu’il avait tiré le scénario du film d’une nouvelle de 7 pages. Ça se voit.