Pointe du Ferret une fois encore. Bien couverts, malgré le vent dans le nez et la marée montante qui nous poussait vers le sable mou, nous avons tenu, marché moins loin que d’habitude, mais marché quand même. A chaque fois, le paysage est différent, façonné toutes les six heures par les mouvements de l’océan. Aujourd’hui, la plage prenait de la hauteur, de hautes et larges marches, comme des gradins pour assister au spectacle.