Olivier Ezratty, l’homme qui lit jusqu’aux reliures des formulaires d’introduction en bourse, analyse celui de Facebook. (Petit décryptage de l’IPO de Facebook)
Il estime que son modèle de revenus ne permet pas de dépasser les 10$ par utilisateur (contre 5 aujourd’hui). Décidément la valorisation actuelle de la société est un pari pascalien.
D’autant que Mark Zuckerberg a construit un montage qui lui conserve le pouvoir, même si sa participation est diluée. Un patron de droit divin, est-ce favorable aux intérêts de l’actionnaire ?