Le stockage informatique d’empreintes digitales pour des passeports ou des cartes d’identité comporte environ 25 % d’erreurs aux Pays-Bas.
Et plus de 20 % en France, au point que le Ministère de l’Intérieur, pourtant pas connu pour sa tendresse, a déclaré en juin 2011: « Il est devenu clair que l’inclusion des empreintes digitales dans les documents de voyage est qualitativement inadéquat. »
Et en Helvétie, et sous l’impulsion aveugle des flics et des sociétés de sécurité, on continue de ficher à qui mieux mieux, sans se poser de question.
C’est beau la technique.
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