Je m’obstine et vous avez raison de penser que la folie nous guette. Chacun dans son coin rumine la globalité à partir de son infime détail, pointant un doigt plus ou moins accusateur en direction de celui qui n’exprime pas son dépit, ou sa colère, à la manière de… C’est humain, c’est logique et c’est délirant.
Du collectif à l’individuel il n’y a qu’un bras de rivière que chacun franchit, à ses risques et périls, fonction des courants et des frontières. Chacun cherchant dans le refuge de sa lucidité, de ses obsessions ou de son désespoir, le bon remède, ou, tout simplement, la façon la moins douloureuse de soulager le mal dont souffre l’humanité. (lire la suite sur ruminances)