La politique de sécurité

Publié le 06 mars 2008 par Julienviel

En savoir plus sur les propositions du Mouvement démocrate pour Strasbourg :  http://www.chantal-cutajar-2008.fr/

Nous mettrons en œuvre une politique de sécurité qui sera conduite par un adjoint en pleine possession de ses délégations y compris sur la police municipale.

Les leviers du maire pour agir sur la sécurité dans la ville se décline selon trois axes : prévention, répression et aide aux victimes.

S’agissant de la prévention, elle doit se faire par l’éducatif. Le respect des valeurs qui fondent le pacte républicain doit être enseigné dès l’école maternelle. Ces valeurs sont d’une part le respect d’autrui, de sa vie, de son intégrité physique et de ses biens et, d’autre part, la tolérance sans laquelle il n’est pas de vivre ensemble possible.
Ces valeurs sont tellement importantes pour notre société que les enfreindre expose leurs auteurs à des peines pouvant aller jusqu’à les priver de leur bien le plus précieux, la liberté. Un partenariat sera recherché avec l’Université pour permettre à des étudiants, après formation validée par le rectorat, de dispenser un enseignement adapté au niveau des élèves de la maternelle au collège, destiné à leur faire acquérir ces notions indispensables à la formation de tout citoyen mais jamais enseignées si ce n’est dans les facultés de droit, et encore faut-il attendre la seconde année du cursus !

S’agissant de la répression, l’État et c’est heureux, a le monopole de la répression des infractions. La Police municipale viendra en appui de son action et sera déployée dans les quartiers dans le cadre d’un partenariat étroit avec la police nationale et tous les acteurs de la sécurité. Un compte-rendu trimestriel de ces actions sera fait dans la plus parfaite transparence par l’adjoint en charge de la sécurité. S’agissant de l’aide aux victimes, trop de victimes ne sont pas suffisamment assistées lors
de la commission d’une infraction. Elles trouveront auprès de la mairie de quartier les renseignements, les démarches et les contacts nécessaires pour obtenir réparation de leur préjudice. Nous passerons avec les associations d’aide aux victimes reconnues par l’Etat un « pacte sérénité » pour leur permettre d’exercer au mieux la mission d’intérêt général qui est la leur.