Comme pour les contrats mirobolants promis par la Libye, suite à la visite de Kadhafou à Paris, avec Hôtel et Yourte, on nous a balancé de l’alerte info, en veux-tu, en voilà, pour célébrer la vente de 126 avions de guerre Rafale (la planète en a besoin pour se débarrasser des pauvres qui l’encombrent) de l’avionneur Dassault à l’Inde, subsidiairement patron du Figaro et grand militant populaire. Télés, journaux, flashs et reportages, rien n’a été négligé par des médias cérémoniaux. C’est tout juste si, âmes manipulées, nous n’étions pas au début et à la conclusion d’un mouvement collectif de toute beauté. Goaaaaaaaaal ! On ne voyait qu’une seule équipe sur le terrain. Un jeu chatoyant et un collectif soudé, jouant les uns pour les autres, attaquant, défendant, plaçant des contres meurtriers, que l’adversaire, submergé, ne pouvait que subir la tête basse. Quelle équipe ! (lire la suite sur ruminances)